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Une journée de Transfo avec les directrices et directeurs de la Région Champagne-Ardenne

Le 12 février se tenait au lycée Léon Bourgeois d’Epernay une séance de travail inédite : une journée «Transfo-directeurs». A l’occasion du séminaire annuel de direction, l’équipe de résidents a proposé à l’ensemble des membres de la direction du Conseil Régional de se prêter à une séance de travail sur l’hypothèse d’un Labo d’innovation à la Région. Ce sont les Lycées Léon Bourgeois et Godart Roger (établissement public récemment rénové) qui ont étés le cadre de cette rencontre avec le «top-management» régional. Revenons sur cette expérience. Lire la suite

Champagne Ardenne SEMAINE 4 / JOUR 5 : Quand la Transfo vient interroger le résident dans son activité initiale

« Il faut absolument que vous vous dotiez d’un cadre, sinon vous ne pourrez rien faire. »
Ce commentaire, venu d’un jeune homme stagiaire à la Région, lors du temps de discussion sur le « labo rêvé« , nous avait interrogé : avait-il compris notre démarche ? Palpait-il notre cheminement par tâtonnement vers un « pas encore défini », un « en construction » ? Notre conclusion était alors assez radicale : « à côté des clous ». Effectivement, le cadre tel qu’il semblait l’entendre (fiches de poste, salle dédiée, personnel permanent, ordres de mission..) ne correspond définitivement pas au processus en cours. Cependant, à la lumière du dernier jour, cette phrase nous revient en tête : et si le cadre s’immisçait plus vite que nous le pensions ?

Après une demi-journée consacrée à la prospective, l’objectif de la dernière journée est, comme prévu, très opérationnel.
L’équipe de résidents fait ses valises le soir même et les agents doivent absolument être dotés d’outils leur permettant d’être autonomes jusqu’à la prochaine semaine, début octobre. Mais pour autant, pas question de leur fournir ces outils tout cuits ! D’autant que ce n’est pas ainsi qu’ils voient les choses… La veille, nous avons identifié trois thématiques de travail et constituons ainsi trois groupes à l’arrivée des premiers participants. Mais ce que chaque atelier va produire, nous n’en savons encore quasiment rien, en réalité !

Il nous semble intéressant de faire ici un point d’arrêt réflexif sur la place du résident.
La 27e région revendique le principe de « co-conception ». Dans ses fondements, ce concept revendique le fait de pouvoir « réinterroger en profondeur les manières de concevoir les politiques en proposant une façon résolument nouvelle, plus participative et ouverte ». « Produire des politiques publiques par et pour les gens ». Cependant, le programme « La Transfo » ne se situe pas tant au niveau des usagers qu’au niveau des agents. De même, si nous tentons d’ouvrir ces agents à la mécanique de l’immersion sur le terrain, cette sensibilisation se traduit également par une co-conception entre eux et nous, résidents.

Ce double mécanisme, sorte de mise en abîme de la co-conception, est à la fois méthode non négociable et postulat politique : on ne forme à l’autonomie qu’en l’expérimentant, on ne se forme à la co-conception qu’en la mettant en œuvre. Continuons alors notre interrogation de la place du résident. Lorsque nous constituons les trois groupes de travail, nous n’avons qu’une idée plutôt vague de ce qui va être créé ou décidé à l’issue. Celle-ci se réduit souvent à l’intitulé de l’atelier : « document présentant la démarche suivie sur LycéO », « to do list des prochains mois » et « outil-journal de bord interne ». Nous savons que nous allons nous répartir dans les groupes pour accompagner les questionnements et propositions mais, et là est toute la singularité de la démarche, nous allons surtout  nous autoriser à être surpris. L’attitude du résident se doit d’être subtile : écouter l’idée émise, tenter d’approcher ce qu’elle dévoile d’un fonctionnement actuel, surveiller l’émulsion du groupe, autoriser à pousser l’imagination un peu plus loin encore, par petites touches.

La Transfo vient alors titiller le résident dans son cœur de métier. Par principe, ce cœur de métier constitue l’approche singulière que pourra proposer chacun des résidents : designers, sociologues, anthropologues, architectes, … Or celle qui rédige ces lignes se destine au métier de professeur des écoles. M’étant longuement intéressée aux pédagogies alternatives, notamment pour leur capacité à « instaurer le collectif » dans la classe, je milite pour une école différente, faisant le pari a priori de la capacité de tous à réussir. Ce pari nécessite une posture professionnelle et des méthodes différentes. On pourrait légitimement s’interroger sur la place d’une future enseignante dans une équipe de résidents. Cependant, l’une des postures essentielles de l’enseignant se trouve être précisément au cœur de la Transfo : « s’autoriser à être surpris ». Mais ce n’est pas la seule…

« L’enseignant doit être le garant du cadre institué pour que les apprentissages puissent se dérouler dans une atmosphère sécurisée et sécurisante. » Ces mots de Philippe Meirieu, professeur de Sciences de l’Éducation à Lyon 2, peuvent prêter à sourire si l’on tente de les appliquer à la Transfo. Les agents ne sont pas plus des élèves que nous des enseignants, piège d’une infantilisation à bannir. Mais si l’on se place du côté des « méthodes actives » et de « l’éducation nouvelle », le mécanisme s’enrichit : la mobilisation d’individus aux parcours divers autour d’un objet de travail, avec ses contraintes, permettant de construire de nouveaux savoirs chez chacun, par leur mise en discussion au sein du collectif. N’y reconnait-on pas là un peu notre démarche ? L’ « éducation nouvelle » date de 1920…

Je ne réalise que maintenant à quel point la Transfo peut mobiliser une vision pédagogique. Je m’autorise alors soudain à relire son déroulement sous le filtre de ces connaissances : les « conseils », moments de réunion et de prise de décision en pédagogie Freinet, sont-ils si différents de nos moments de « mise en commun » ? Les « cahiers de râlage », où les enfants peuvent faire part des sujets à y traiter, ne peuvent-ils être rapprochés du « mur d’idées/questions » ? Voir les choses sous cet angle engage alors à réinterroger les deux milieux : un fonctionnement de classe plus « Transfo » ? Une Transfo qui tirerait profit des expériences pédagogiques ?
Un incident qui a eu lieu le matin avec un visiteur qui n’acceptait pas de suivre une règle émise par le groupe entre parfaitement dans ce cadre : en pédagogie institutionnelle, les « lois » sont discutées en grand groupe, votées puis ré-envisagées. Extérieures aux individus et garanties par tous, elles sont l’incarnation de la sécurité intellectuelle du groupe. Faudra-t-il ici re-questionner cette règle avec les participants directement ?

Nos trois groupes de travail carburent. Nous instaurons un rythme qui oblige les agents à tourner d’atelier en atelier pour être certains que ce travail sera le fruit du collectif. Peu à peu, des outils concrets émergent : le « document sur la démarche » donne lieu à un tableau de suivi de la transformation d’un dispositif ! La « to do list » se mue en calendrier, accessible à tous sur un intranet – que nous découvrons ! Et le « journal de bord » devient un outil de mise à jour quotidienne pour l’ensemble des participants avec ses règles et sa méthode !

Ainsi, voilà donc notre cadre. Il apparaît alors que nous ne l’avions abordé : simple et évident, fruit de négociations, issu d’un nécessité indiscutable, implicite et ressentie par tous. La joie du concret se lit sur les visages des agents. L’enseignante en moi n’envisage alors pas une seule seconde de cheminer différemment avec sa classe, quel qu’en soit l’âge moyen…

Une petite bibliographie, si amateurs !
Philippe Meirieu,
Apprendre… oui, mais comment ?
Célestin Freinet,
Les invariants pédagogiques
Catherine Pochet & Fernand Oury,
Qui c’est l’conseil ? La loi dans la classe

Champagne Ardenne SEMAINE 4 / JOUR 4 : de la réalité au rêve…

Au risque de nous répéter, cette semaine 4 est définitivement un moment pivot. Point d’étape entre réflexion concrète et projection, entre animation des seuls résidents et véritable co-animation, entre recherche guidée et tâtonnement franc.

Débriefing

DU LANGAGE COMMUN AUX CODES DE LA RÉGION

« Quand on parle d’immersion, ça ne signifie pas la même chose pour nos collègues. » Après un rapide débriefing sur le travail au corps des élus qui a eu lieu la veille, les agents questionnent à nouveau leur place au sein du Conseil Régional. En effet, chaque incursion du monde extérieur dans notre « parenthèse Transfo » est l’occasion de faire le point sur la façon dont l’expérience est perçue. « J’ai compris que j’étais attendue au tournant, il va falloir produire des résultats » souligne Maryline. Il est rapidement question de la communication à mettre en place entre élus et agents afin de mener le travail le plus efficacement possible. De la communication au langage, il n’y a qu’un pas : « il faut qu’ils comprennent qu’en face d’eux, nous ne sommes plus un service mais une équipe ».

La construction d’un langage commun se fait de plus en plus concrète : langage commun entre agents, langage commun entre élus et agents… et le langage de la Région ? Tirant les enseignements de nos moments de flottement du premier jour, nous nous constituons peu à peu un « glossaire Région » : ces éléments de contexte, en plus de la compréhension de la culture professionnelle administrative nous apparaissent aujourd’hui cruciaux. A quand la livraison du code source du Conseil Régional ?

Exposition

LA TRANSFO S’EXPOSE

Les moments d’expositions sont devenus un rite de la Transfo. Il faut donner à voir ce qui s’y passe et tenter de rendre explicite notre démarche ! La présence de partenaires extérieurs à la Région (Mission Locale, MJC, …) nous permet de s’interroger sur le format : trop de texte ? trop de post-it ? Cependant, nous constatons avec ravissement que nous sommes loin d’être seuls à réfléchir la place de chaque panneau. Malgré un timing très serré, les tâches se répartissent très rapidement. Les premiers visiteurs arrivent et les agents se chargent tout naturellement de les guider. Désormais leur implication leur semble bien plus claire : ils ont tous, sans se concerter, profité de ce moment pour savoir ce que chaque visiteur percevait de la démarche.

DES OUTILS POUR LES AGENTS

Une fois l’effervescence autour du buffet retombée, certains agents expriment leur difficulté à présenter des travaux auxquels ils n’ont pas participé. La question des outils opérationnels internes devient prégnante : pouvoir se tenir au courant des travaux en quelques minutes, faire le point en permanence sur le travail à répartir. En bref, être efficaces et opérationnels. Le programme de demain ?

Rêve ton labo !

LE LABO D’APRÈS-DEMAIN

Laissant de côté, pour un bref instant, les questions très opérationnelles, nous hackons délibérément la dynamique et proposons un temps de respiration : « Ce laboratoire de 2014, vous l’imaginez comment ? ». Pas besoin de lancer beaucoup la discussion, le rêve est rapidement au rendez-vous. « Et d’abord, pourquoi vous l’appelez labo ? » Du nom au nombre (« Et s’il y avait plusieurs labos ? »), les possibles s’envisagent : « Il faudrait que ce soit aussi un lieu de formation», « il serait est un ensemble de compétences et de ressources, à géométrie variable », « des permanents, du temps libéré pour les agents ? On dirait un syndicat ! ».

Et quitte à rêver, rêvons ! Françoise Bronner, spécialiste des espaces de créativité et d’innovation, vient apporter ses lumières : lieux existants, configurations, modalités, possibilités… Mais nos agents gardent les pieds sur terre : quelles expériences dans le service public ? Comment concilier ce type de démarche avec l’administration si française ?

TRANSFO Champagne Ardenne SEMAINE 3 / JOUR 5 : Expo et perspectives

Préparation de l'expsitionAlors qu’il nous semble que cette semaine de Transfo vient à peine de commencer… voici qu’elle touche déjà à sa fin ! Cependant, ce dernier jour ne sera pas des moindres et le défi à relever reste de taille : à partir des quelques croquis élaborés la veille, il faut réfléchir et monter toute l’exposition retraçant travaux et démarche.

Exposition des travaux de la semaine 3 autour d'un buffet convivial

L’enjeu de diffusion est important. Ouverte à tous les agents de la Région, l’événement a pour ambition de « donner à voir », mais aussi « donner envie », au sujet des nouvelles méthodes de travail testées tout au long de la semaine. Les participants se mobilisent pour penser la lisibilité, retracer le programme, expliciter les questionnements.

Jean-Christophe Coulon et les particpants à la Transfo exposent leurs travaux aux visiteurs

Une occasion pour la Région de réaffirmer son engagement dans une dynamique d’innovation. À peine la dernière fiche opérationnelle contre-collée, François Charlier, Directeur général adjoint à la Formation, inaugure la visite. Il souligne l’importance de ces derniers jours pour la Région, mais aussi pour ses agents : le chemin de l’innovation se découvre et se construit peu à peu, avec tous.

Nous terminons ainsi la troisième semaine d’un programme qui en comptera dix. Nous réalisons que l’exposition seule ne suffira pas à faire rayonner tout ce qui a été exploré ces derniers jours. Comment cela va-t-il vivre d’ici le mois de mai, moment où nous reviendrons en résidence à Châlons ? Cela fait partie des interrogations des participants de cette semaine. Ils semblent ravis et galvanisés. Un voeu pour la prochaine semaine de Transfo ?

– Une exposition qui viendrait au visiteur
– Une plus grande participation des directions
– Une semaine qui aboutirait plus encore à du matériau concret
– Aborder un sujet transversal qui amènerait à une participation des élus
– Une Transfo à destination des directeurs
– Un point d’évaluation dans un an qui rappellerait les méthodes d’élaboration
– Travailler en amont à la création d’un dispositif
– Retracer les différents axes de travail défrichés tout au long de la semaine
– Adapter les impératifs de présence des agents pour améliorer l’assiduité de tous

Le rendez-vous est pris pour la prochaine semaine, du 10 au 16 mai !

Qui a dit que nous allions nous reposer ?

La « Grande feuille de jeunes infiltrés » au Conseil régional de Champagne-Ardenne

Temps fort de cette deuxième semaine d’immersion, la présentation de « La Visite », résultat de l’enquête menée par une équipe de jeunes reporters infiltrés au sein du Conseil Régional.


Après une rapide initiation aux techniques journalistiques, deux équipes se sont « infiltrées » chacune dans une direction du Conseil régional, afin d’en découvrir les activités et les modes de travail.

La Visite –grande feuille de jeunes infiltrés est le résultat de cette enquête de terrain, produit au rythme (soutenu) de la rédaction d’un vrai quotidien. Les questions concrètes et parfois impertinentes posées par l’équipe de jeunes reporters ont permis de faire émerger les zones d’incompréhension, de démêler quelques confusions autour de dispositifs régionaux, et de lancer des pistes de travail pour une meilleure communication entre la Région et les jeunes.

> Télécharger La Visite

La Transfo Champagne-Ardenne : Semaine 2, jour1

Nous avons regagné l’Hôtel de Région de Châlons-en-Champagne ce lundi, où nous avons retrouvé un groupe d’une vingtaine de participants (associations locales, référents jeunesse des services de la Région, élus) pour faire ensemble le bilan des rencontres Région-Jeunes du mois de novembre dernier. [Pour rappel, lors de la première semaine (campus) nous nous étions concentrés sur la conception des rencontres Région-Jeunes pour initier la démarche de la Transfo.]
Plusieurs temps de travail ont été orchestrés ce jour pour tirer des enseignements de ces rencontres : ce que ça a produit sur les relations Région/partenaires, ce que les jeunes participants ont apporté ainsi que les engagements de la Région, et un rapide inventaire des méthodes utilisées lors des rencontres (objectifs et résultats).

Formés en binômes, les participants ont profité de cette analyse pour projeter un avenir désiré de prochaines rencontres entre la Région et des jeunes. Casqués du titre « Je reviens du futur », ils ont raconté leur expérience (prospective) face à la caméra, en moins de deux minutes.
En effet, les rencontres déjà effectuées doivent donner des perspectives sur de nouvelles rencontres, de nouvelles modalités d’échange avec les jeunes, d’autres contextes.
Le 1er février prochain, la synthèse Régionale des rencontres Région-jeunes sera l’occasion de faire le bilan, avec une variété de participants. Nous avons alors consacré la seconde partie de la journée à définir un document de communication et de partage des expériences déjà réalisées en novembre. Un document, oui !… mais pour qui ? pour quoi faire ?
Ce cahier des charges a été le prétexte d’un travail d’élaboration à plusieurs voix. On a plutôt « mouliné » sur les termes, les formulations; toujours est-il que l’objectif est rempli : le groupe a défini ensemble un outil qui lui ressemble et qui lui serve.
A la Transfo, il y a toujours un parfum de feu Territoires en Résidences : la journée terminée, c’est la soirée qui commence 😉
Allez, on vous invite à notre table pour faire un bilan sensible de ce que nous avons appris aujourd’hui. A demain !
Ce que la journée nous a appris : Modalités de travail en équipe

Ce que la journée nous a appris : Modalités de travail en équipe

Ce que la journée nous a appris : Relations Région-Jeunes

Ce que la journée nous a appris : Relations Région-Jeunes

Ce que la journée nous a appris : Clés d'anticipation du labo d'innovation Régional

Ce que la journée nous a appris : Clés d'anticipation du labo d'innovation Régional

NB : Ces trois catégories représentent une tentative de mise en perspective de notre immersion au sein du Conseil Régional.

La Transfo en Champagne-Ardenne : Programme de la semaine 2, du 23 au 27 janvier

L’équipe de la Transfo est de retour en Champagne-Ardenne !
Du lundi 23 au vendredi 27 janvier (la semaine prochaine !!!), nous animerons une semaine de travail à l’Hôtel de Région de Châlons-en-Champagne.

Voilà de quoi vous faire une idée du programme des festivités :

Programme de la Transfo : semaine 2

Programme de la Transfo : semaine 2

Les horaires des journées de travail sont de 9h30 à 17h30 (sauf le vendredi se terminant à 15h00). Le jeudi à 16h30 se déroulera la restitution publique de ce travail d’immersion de deux jours, sous forme d’exposition commentée, ouverte à tous.

Pour plus d’infos sur le programme et la participation à la semaine, merci de vous adresser directement par mail à : ssaintaubin@cr-champagne-ardenne.fr

Hôtel de Région, 5 rue de Jéricho à Châlons-en-Champagne, Salle Henri Lagauche.

Jour 2 – Préparer l’immersion

Après la pause déjeuner au restaurant inter-administratif, à deux pas de la Région, on se retrouve pour travailler sur les outils qui nous serviront à animer le travail de demain avec les jeunes. On commence d’abord par choisir deux thèmes parmi les quatre proposés : « Bonheur » et « Autonomie » remportent les suffrages. On prend quelques minutes, par petits groupes, pour préparer comment expliquer aux jeunes pourquoi ce sujet nous tient à cœur. Et puis, en deux sous-groupes, on fait la liste des méthodes d’animation qui nous semblent opportunes. On en sélectionne quelques-unes et préparons le kit outil que nous expérimenterons demain… Programme chargé pour cet après-midi.

Deux thèmes sont choisis pour la journée test du lendemain: autonomie et bonheur

Les outils qui seront utilisés le lendemain sont préparés dans l'après-midi